Vrai ou faux sur l'alimentation des personnes âgées 
La personne âgée doit manger moins,
et moins de viande : FAUX
Ils doivent manger équilibrée et diversifiée. Il ne faut pas manger moins mais manger mieux et autrement.
Les besoins en protéines augmentent chez les aînés 
Il ne doivent donc pas manger moins de viande 
de volaille
de poisson
ou d’œufs
car ces aliments sont une source importante de protéines
Paradoxalement, l'attirance pour les produits carnés diminuent avec l'âge 
Ils peuvent également rencontrer des difficultés à mastiquer. Choissisez alors des morceaux tendres. Bon à savoir : les produits laitiers
et les légumineuses sont également source de protéines.
Il ne doivent donc pas manger moins de viande de volaille de poisson ou d’œufs car ces aliments sont une source importante de protéines Paradoxalement, l'attirance pour les produits carnés diminuent avec l'âge Ils peuvent également rencontrer des difficultés à mastiquer. Choissisez alors des morceaux tendres. Bon à savoir : les produits laitiers et les légumineuses sont également source de protéines.C’est normal qu’une personne âgée
maigrisse : FAUX
Avec l’âge, la composition corporelle change : les aînés perdent progressivement de la masse musculaire et de la masse osseuse alors que leur masse grasse augmente légèrement Malgré ce changement, l’avancée en âge ne doit pas être synonyme de perte de poids. Au contraire, la plupart des gens prennent un peu de poids en vieillissant et c’est normal. L’idéal est donc que le poids reste stable. Toute perte de poids doit constituer un signal d’alerte 
et faire suspecter un problème sous-jacent (dénutrition, carences alimentaires, maladie, trouble de l’humeur, démence, isolement…).
alors que leur masse grasse augmente légèrement Malgré ce changement, l’avancée en âge ne doit pas être synonyme de perte de poids. Au contraire, la plupart des gens prennent un peu de poids en vieillissant et c’est normal. L’idéal est donc que le poids reste stable. Toute perte de poids doit constituer un signal d’alerte et faire suspecter un problème sous-jacent (dénutrition, carences alimentaires, maladie, trouble de l’humeur, démence, isolement…).
